En 2013, l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) a conclu, après une réévaluation approfondie des données scientifiques chez l’animal et chez l’homme, que l’aspartame et ses produits de dégradation étaient sûrs pour la consommation humaine aux niveaux habituels d’exposition.
Toutefois, chez les patients souffrant de phénylcétonurie (une maladie métabolique d’origine génétique), l’aspartame ne doit pas être consommé car ils doivent observer un régime strict faible en phénylalanine (un acide aminé présent dans des protéines et produit de dégradation de l’aspartame).
De plus, les experts de l’EFSA ont également conclu que l’aspartame n’entraînait pas de dommage pour le cerveau et le système nerveux et qu’il n’affectait pas le comportement ou le fonctionnement cognitif chez les enfants et les adultes.