L’augmentation des prises de risque au volant témoigne d’un certain individualisme, confirmé dans le rapport que les automobilistes français entretiennent entre eux. Ainsi :
- Sur la route, on a tendance à croire que le danger, c’est l’autre
Ainsi, alors que les deux-roues motorisés et les cyclistes sont les plus vulnérables sur la route, les automobilistes les considèrent comme les plus dangereux – respectivement 44 % et 32 %. 6 % des conducteurs pensent que ce sont les piétons, notamment quand ils se déplacent avec leurs écouteurs ou leur téléphone. Jeunes et seniors sont par ailleurs souvent pointés du doigt.
- Les conducteurs font globalement preuve d’incivisme
Énervement, non-respect des piétons et du code de la route : au volant, les Français manquent parfois d’esprit civique.