Une enquête nationale menée pour Santé Publique France [2] met en lumière le nécessaire soutien à la santé psychologique de tous. En témoigne la consommation de médicaments psychotropes (antidépresseurs) qui s’est notamment accrue chez les femmes, depuis la fin du confinement du printemps 2020.
À l’approche de la rentrée scolaire de septembre, période qui met particulièrement à l’épreuve la charge mentale des femmes, plus d’1 Française interrogée sur 6 consommait des psychotropes, contre 1 sur 9 fin mars de l’année en cours [2].
Cette prise croissante d’antidépresseurs est évidemment corrélée à une augmentation de l’anxiété. Ce trouble touche plus de 20 % des Françaises, notamment les femmes jeunes et/ou sans activité, en situation financière délicate [2].
Dans ce contexte, 43 % des femmes disent perdre confiance en elles, et 59% déclarent être concernées par une situation de burn-out, d’anxiété ou de dépression [1b].