Sur le pont depuis la première vague de la COVID-19 en début d’année, les professionnels du secteur doivent maintenant faire face à un nouveau pic de contamination, avec parfois le sentiment de ne pas voir « le bout du tunnel ».
L’épuisement des équipes, déjà tangible depuis plusieurs années, n’est pourtant pas sans conséquence. En Ile-de-France par exemple, les métiers concernés font état d’une accidentologie bien plus élevée que d’autres professions, avec 10 519 accidents du travail pour 183 000 salariés. Soit le double de la moyenne francilienne [1] …
Chacun à son niveau peut soutenir ces travailleurs et contribuer à l’effort collectif en appliquant au quotidien, les gestes barrière et ainsi faire en sorte que l’ensemble des mesures préconisées porte durablement ses fruits.